Champ ElectroMagnétique Faible (EMF)

Un article de U-Sphere.
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Ordonnance suisse du 16/2/99

Des effets biologiques apparaissent ou sont supposés sur la base de données statistiques, dans le cas du rayonnement non ionisant – dont l’intensité est inférieure aux valeurs limites d'émmissions.

Ainsi, par exemple:

  • on a pu mettre en évidence des modifications dans le métabolisme de certaines cellules, notamment le métabolisme du calcium,
  • dans l’expérience animale, la production de l’hormone appelée mélatonine est influencée la nuit,
  • certaines personnes se plaignent de troubles du sommeil, d’autres de troubles du bien-être, en rapport avec des champs électromagnétiques faibles.
  • on soupçonne enfin le champ électromagnétique faible d’avoir un effet de catalyseur sur le cancer : un groupe d’experts du US National Institute of Environmental Health Sciences (Institut national des sciences de l’environnement et de la santé), se basant sur un travail d’appréciation de plusieurs années de tous les rapports d’expérience, est arrivé récemment à la conclusion que le champ électromagnétique à basse fréquence devait être considéré comme ”éventuellement cancérigène”.

Il est donc établi que des effets biologiques apparaissent également en dessous des valeurs limites d'immissions. Vus dans leur ensemble, ces résultats et ces expériences constituent l’indice d’une menace de la santé aux basses intensités, mais d’un point de vue scientifique et en l‘état actuel des connaissances, cela reste un indice - ce n’est pas une preuve.