Difference between revisions of "Modelisation des cycles du soleil"

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L'objectif de cet article est multiple. Tout d'abord, il est né du souhait d'arriver à '''valider (ou invalider) de manière indiscutable l'existence d'une relation entre les planètes et l'activité du soleil'''. Ceci portant l'interrogation sur comportement de notre soleil à courte et moyenne échéance : si le soleil réagit à son environnement spatial peut-être pourrions-nous, par ricochet, y trouver des informations nouvelles ?
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L'objectif de cet article est multiple. Tout d'abord, suite à des [[Eschatologie_croisée|réflexions transverses postées sur u-sphère]], une interrogation s'est faite jour quand au comportement de notre soleil à brève échéance: '''peut-on prévoir quelle sera son activité d'ici 2 à 3 ans, et, y a t-il un risque majeur devant nous ?'''
  
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Il s'agira donc ici '''de modéliser les cycles du soleil'''. En particulier en essayant de faire trouver un lien qui relierait le soleil à son environnement spatial, et particulièrement les planètes. Il y a donc, au delà de la recherche d'un modèle, l'idée d'arriver à '''valider (ou invalider) de manière indiscutable l'existence d'une relation entre les planètes et l'activité du soleil'''.
 
[[image:Cycles_soleil_260_ans.png|center|frame|Le terrain de jeu de cet article: le signal émis par les tâches solaires, (nombre de wolf), qui en les comptabilisant année après année décrit les fluctuations d'activité de notre soleil]]
 
[[image:Cycles_soleil_260_ans.png|center|frame|Le terrain de jeu de cet article: le signal émis par les tâches solaires, (nombre de wolf), qui en les comptabilisant année après année décrit les fluctuations d'activité de notre soleil]]
  
Il s'agira donc ici '''de modéliser les cycles du soleil''' et je m'appuierai en cela sur deux méthodes: la première consistera à tenter '''de retrouver les fréquences élémentaires régissant l'activité du soleil''', je parle des fréquences génératrices, non pas de l'ensemble des cycles qui peut-être, à l'instar d'un motif fractal, infini. Nous verrons d'ailleurs comment de façon simple ils peuvent être définis. Ces cycles seront recherchés sur deux échelles de grandeurs. Puis, pour ne pas rester dans la "théorie", croiser ce résultat avec les informations dont nous disposons sur les paramètres orbitaux des planètes.
 
Indépendamment, et pour là aussi consolider ce résultat, '''s'appuyer sur les paramètres gravitationnels des planètes du système solaire pour calculer la force exercée en fonction du temps sur le soleil ''' (approche top-down).  Les effets de marée sont connus, mais il n'existe pas de modèle (à ma connaissance) qui propose un calcul direct des cycles du soleil à partir du mouvement des planètes.
 
  
Puis confronter les deux modèles.
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Peut-être même, '''si ce travail est concluant, pourrions-nous y trouver, indirectement, des informations nouvelles sur l'environnement planétaire ?'''
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* La première approche est dite "bottom-up" (inductive), elle consistera à '''retrouver les "fréquences élémentaires" régissant l'activité du soleil'''. J'entends par "fréquences élémentaires" les fréquences génératrices de l'activité du Soleil, et non pas l'ensemble des fréquences associées aux cycles, qui sont à l'instar d'un motif fractal, infinies. Nous verrons au passage, comment de façon simple, de nouveaux cycles peuvent être créés. Ces cycles seront recherchés à différentes échelles de temps et les résultats seront croisés.
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* Puis, la seconde, pour ne pas rester dans la "théorie"  (approche "top-down"), consistera à trouver ce résultat en partant du résultat: à partir des informations dont nous disposons sur les paramètres orbitaux des planètes. Je proposerai de '''m'appuyer sur les paramètres gravitationnels des planètes du système solaire afin de calculer la force exercée en fonction du temps sur le soleil '''. Les effets de marée sont connus, mais il n'existe pas de modèle (à ma connaissance) qui propose un calcul direct des cycles du soleil à partir du mouvement propre des planètes.
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Puis, de confronter les deux modèles.
  
 
Enfin, à partir du résultat obtenu, '''observer si nous pouvons nous en servir comme modèle prédictif'''. Par retour, '''observer si au travers de l'activité modélisée du soleil, des influences gravitationnelles manquent à l'appel'''.
 
Enfin, à partir du résultat obtenu, '''observer si nous pouvons nous en servir comme modèle prédictif'''. Par retour, '''observer si au travers de l'activité modélisée du soleil, des influences gravitationnelles manquent à l'appel'''.

Version du 15:50, 12 février 2010

Plot.gifArticle en cours de rédaction

L'objectif de cet article est multiple. Tout d'abord, suite à des réflexions transverses postées sur u-sphère, une interrogation s'est faite jour quand au comportement de notre soleil à brève échéance: peut-on prévoir quelle sera son activité d'ici 2 à 3 ans, et, y a t-il un risque majeur devant nous ?

Il s'agira donc ici de modéliser les cycles du soleil. En particulier en essayant de faire trouver un lien qui relierait le soleil à son environnement spatial, et particulièrement les planètes. Il y a donc, au delà de la recherche d'un modèle, l'idée d'arriver à valider (ou invalider) de manière indiscutable l'existence d'une relation entre les planètes et l'activité du soleil.

Le terrain de jeu de cet article: le signal émis par les tâches solaires, (nombre de wolf), qui en les comptabilisant année après année décrit les fluctuations d'activité de notre soleil


Peut-être même, si ce travail est concluant, pourrions-nous y trouver, indirectement, des informations nouvelles sur l'environnement planétaire ?

  • La première approche est dite "bottom-up" (inductive), elle consistera à retrouver les "fréquences élémentaires" régissant l'activité du soleil. J'entends par "fréquences élémentaires" les fréquences génératrices de l'activité du Soleil, et non pas l'ensemble des fréquences associées aux cycles, qui sont à l'instar d'un motif fractal, infinies. Nous verrons au passage, comment de façon simple, de nouveaux cycles peuvent être créés. Ces cycles seront recherchés à différentes échelles de temps et les résultats seront croisés.
  • Puis, la seconde, pour ne pas rester dans la "théorie" (approche "top-down"), consistera à trouver ce résultat en partant du résultat: à partir des informations dont nous disposons sur les paramètres orbitaux des planètes. Je proposerai de m'appuyer sur les paramètres gravitationnels des planètes du système solaire afin de calculer la force exercée en fonction du temps sur le soleil . Les effets de marée sont connus, mais il n'existe pas de modèle (à ma connaissance) qui propose un calcul direct des cycles du soleil à partir du mouvement propre des planètes.

Puis, de confronter les deux modèles.

Enfin, à partir du résultat obtenu, observer si nous pouvons nous en servir comme modèle prédictif. Par retour, observer si au travers de l'activité modélisée du soleil, des influences gravitationnelles manquent à l'appel.

Cet article n'aurait jamais pu être rédigé sans l'utilisation d'une "carte de relations fonctionnelles" qui organisant et reliant les différents éléments entrant en jeu, m'a permit de disposer d'un cadre pragmatique solide permettant de rassembler l'ensemble des pièces du puzzle. Je publierai cette carte à la suite, et en complément de l'article sur les effets du soleil. Un résultat qui peut-être inquiétant émerge de ce travail, je vous laisserai le découvrir.