Difference between revisions of "Sur l’acceptation de l'inconnu et de croyances exo. Ethnocide et ingérences non terrestres."

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(Projet II - Surveiller l'environnement pour anticiper les changements. "Ingérence" exotique ?)
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Par essence, les systèmes complexes ne sont pas parfaitement modélisables et des données négligées peuvent entraîner des effets considérables. Pour réaliser de prévisions, il est nécessaire d'ajuster sa connaissance du milieu en permanence: la modélisation informatique peut alors être perçue comme un système de "poursuite" qui se recale en permanence sur la réalité.
 
Par essence, les systèmes complexes ne sont pas parfaitement modélisables et des données négligées peuvent entraîner des effets considérables. Pour réaliser de prévisions, il est nécessaire d'ajuster sa connaissance du milieu en permanence: la modélisation informatique peut alors être perçue comme un système de "poursuite" qui se recale en permanence sur la réalité.
  
A l'instar de la météorologie, il est nécessaire de placer des capteurs au sein d'un système social pour anticiper et prévoir ses actions. Comme vous le lirez, l'étude et la collecte d'informations sur l'environnement cible, en l'occurence le groupe social que l'on cherche à maîtriser, fait partie de la stratégie de contact et de rapprochement. Et sinon, de compréhension afin de maîtriser les risques environnementaux susceptibles de se produire.  
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A l'instar de la météorologie, cela nécessite de placer des capteurs au sein d'un système social pour anticiper et prévoir ses (ré)actions. Comme vous le lirez, l'étude et la collecte d'informations sur l'environnement cible, en l'occurence le groupe social que l'on cherche à maîtriser, fait partie de la stratégie de contact et de rapprochement. Et sinon, de compréhension afin de maîtriser les risques environnementaux susceptibles de se produire.  
  
 
Il ne s'agit ni plus ni moins d'élaborer de stratégies de renseignements sur des environnements qui sont ce que l'on nomme des '''[[complexité|systèmes complexes]]'''. Etant bien entendu, qu'une fois le renseignement effectué, des stratégies de contrôle environnemental peuvent être élaborées et mises en place.
 
Il ne s'agit ni plus ni moins d'élaborer de stratégies de renseignements sur des environnements qui sont ce que l'on nomme des '''[[complexité|systèmes complexes]]'''. Etant bien entendu, qu'une fois le renseignement effectué, des stratégies de contrôle environnemental peuvent être élaborées et mises en place.

Version du 23:56, 15 avril 2007

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  • Exemple sur la gestion d'un "contact" : ajouts sur l'affaire ummo-SBF (Seth Brundle Fly)
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  • Pages projet Gestion des connaissances / IA

Projet I - L'intégration des savoirs et des croyances, une théorie du "contact"

De l'environnement vers l'information collectée et aux phénomènes non identifiés

Il s'agit ici de discuter de l'intégration des connaissances, de l'acceptation de l'étranger, de nos croyances et de nos rationnalités qui nous permettent d'élaborer des ponts vers de nouveaux groupes sociaux, de nouvelles informations, à priori étrangers. Les questions d'éthique et de morales sous-jacentes se posent au travers de ces sujets, notamment en tant que facteurs de réalisation. Au niveau psychosocial, vous constaterez peut-être qu'émerge dans la littérature certains mots clés tels "qu'ethnocide". Au-delà de la terminologie "à la mode", il est heureux que l'homme se rende (enfin) compte de l'importance de la maîtrise des croyances implantées au sein des groupes sociaux qui conditionnent le succès (ou l'échec) du rapprochement/de l'intégration des ethnies. A l'inverse des croyances délétères ou des valeurs trop marquées, verrouillées sur l'extérieur, sont suceptibles de générer des peurs irrationnelles voire même des guerres. Le marquage générationnel des croyances et leur transmission conditionne alors des populations pour des dizaines d'années.

Il s'agit donc de proposer et d'élaborer une approche radicale des phénomènes sociaux, intégrant de façon transdisciplinaire les outils de la logique, de l’informatique et d’autres recherches convergentes ayant pour sujet : l’épistémologie, la sociologie, l’intelligence artificielle et l’ethnologie.

En voici Les principales thématiques:

  1. Fondement des connaissances, savoirs scientifiques et profanes
  2. Posture face au savoir
  3. Epistémologie de la Connaissance
  4. Raisonnement et sens commun
  5. Epistémologie des logiques
    1. Logique Tétravalente
    2. Autres
  6. Théorie unitaire via ethnométhodologie et complexité
  7. Théorie unitaire
  8. L’ethnométhodologie
  9. Complexité

Le passage obligé de la "Manipulation Psychosociale" ?

Nous verrons ici que les questions d'intégration des groupes sociaux et des connaissances sont centrales. Nous verrons également quels sont les outils et méthodes mis à disposition et permettant de modifier les croyances dans le bon (ou le mauvais sens). A ce propos, la littérature "blanche" (cad ouverte) est très avare d'informations, il n'existe en effet que de très rares ouvrages ou sources d'informations sur l'influence et la manipulation psychosociale, réservée essentiellement aux militaires (aux US, nommées PSYOP). J'encourage et je participerai volontiers à la création de toute documentation permettant au grand public de découvrir ce sujet mal connu, et qui a cependant un versant dans le domaine économique : le marketing (ou comment intégrer des valeurs dans votre système de croyance, peut importe qu'elles soient vraies ou fausses).

Comment favoriser un contact exotique?

Bien sûr, nous sous-entendons l'hypothétique rencontre avec des extra-terrestres. Mais, l'exotisme c'est d'abord l'autre, celui qui ne nous ressemble pas ou qui vient bouleverser nos valeurs. De la même façon, si nous aprenons à propager la paix, induire un état d'esprit de tolérance et d'ouverture chez notre prochain, mais bien plus encore lorsque ce prochain est un pays ou une nation, alors nous découvrirons le vrai sens du mot "contact". Or, encore une fois, les études sur les facteurs psychosociaux de la paix sont trop rares.

Tout dépend du côté duquel nous nous plaçons, cependant, à titre d'exemple, une société évoluée pourrait avoir besoin, dans la mise en application d'un "plan de contact", d'un certain nombre d'outils et de moyens. Au rang de ceux-ci, l'utilisation d'un certain nombre de noeuds du réseau qu'elle souhaite pénêtrer (cf. les PSYOP).

Amusons nous, et essayons d'envisager quelles pourraient être les caractéristiques d'un noeud humain:

  • TODO : tableau aspects du contact

Chemins de traverse

L'exemple de l'affaire "SBF" (Seth Brundle Fly) ayant eu lieu sur la liste ummo-sciences est révélateur. Il est également à l'origine de ce chapitre. C'est aussi l'histoire d'une ingérence par une source non identifiée.

Projet II - Surveiller l'environnement pour anticiper les changements. "Ingérence" exotique ?

Par essence, les systèmes complexes ne sont pas parfaitement modélisables et des données négligées peuvent entraîner des effets considérables. Pour réaliser de prévisions, il est nécessaire d'ajuster sa connaissance du milieu en permanence: la modélisation informatique peut alors être perçue comme un système de "poursuite" qui se recale en permanence sur la réalité.

A l'instar de la météorologie, cela nécessite de placer des capteurs au sein d'un système social pour anticiper et prévoir ses (ré)actions. Comme vous le lirez, l'étude et la collecte d'informations sur l'environnement cible, en l'occurence le groupe social que l'on cherche à maîtriser, fait partie de la stratégie de contact et de rapprochement. Et sinon, de compréhension afin de maîtriser les risques environnementaux susceptibles de se produire.

Il ne s'agit ni plus ni moins d'élaborer de stratégies de renseignements sur des environnements qui sont ce que l'on nomme des systèmes complexes. Etant bien entendu, qu'une fois le renseignement effectué, des stratégies de contrôle environnemental peuvent être élaborées et mises en place.

La complexité, science du futur ?

Il est probable que l’évolution et les niveaux de complexité atteints par les systèmes, notamment du vivant, devienne un sujet d'étude de plus en plus crucial pour l'humanité. Un domaine clé dont la maîtrise pourrait lui fournir les moyens d'une meilleure compréhension de sa propre évolution.

De ce point de vue, la surveillance et la compréhension des vecteurs ou variables qui modèlent la destinée du biotope terrestre et de ses formes évoluées (humaines ou systèmes complexes) pourraient effectivement constituer un sujet d'étude de choix.

Bombetoka1.jpg
"Bombetoka Bay, Sediment, Madagascar"

En toute hypothèse, l'approche des niveaux de complexité et le regard que porteraient des exo-civilisations sur les différentes infosphères auxquelles elles seraient confrontées devrait varier grandement suivant leur degré d'évolution technologique, social et, bien sûr, moral.

De fait, leur implication dans notre environnement pourrait varier grandement: de l'ignorance complète, à la surveillance, ou à l'ingérence dans différents degrés. De façon transversale, la nécessiter de surveiller notre environnement et de l'encadrer de sondes invisibles semble constituer une précaution "minimale".

Les systèmes complexes, sujet transdisciplinaire inextricablement lié aux efforts de recherche futurs

La collecte d'information permettant d'élaborer des modèles predictifs sur les systèmes complexes dans lesquels nous sommes immergés devrait intéresser d'hypothétiques civilisations évoluées, et bien entendu l'homme de façon croissante.

Dans l'hypothèse ou la mise en place puis le suivi de capteurs, de sondes et de moyens de collecte d'informations consituent un projet de recherche susceptible de générer une activité "exotique", nous cherchons à tester l'idée suivante:

H1: une manifestation exogène "intelligente" est-elle corrélée aux principales variables suceptibles d'impacter sensiblement notre biosphère; c'est à dire suit les variables suceptibles de remettre en cause l'évolution des degrés de complexité atteints sur terre ?

Qui peut se redéfinir de façon plus étroite ainsi:

H1': cette manifestation exogène "intelligente" peut-elle correspondre à certains "phénomènes volants non identifiés" ? (OVNIs, UFOs, PANs...)

Pour vérifier cette hypothèse nous proposons de rechercher dans les bases de phénomènes inexpliqués des corélations avec les paramètres environmentaux qui ont une influence majeure sur la stabilité de notre biosphère.

Ce projet est constitué de plusieurs étapes classiques.

0. La COLLECTE des données

Les données collectées sont placées dans des calques distincts, mais ayant un référentiel géographique commun. Cela permet de croiser visuellement les informations, mais aussi de calculer rapidement des corrélations.

Données ufologiques

Pour ce qui concerne ces données, le meilleur moyen consisterait à mettre un oeuvre un réseau de stations d'observation du ciel et couvrant chacune un champ visuel large. Compte tenu des moyens de discrétion possiblement envisagés par toute forme d'intelligence souhaitant passer inaperçue dans l'espace aérien d'une nation, (et à fins de surveillance), de façon la façon la plus évidente elle tenterait de :

  • ne pas apparaître dans le spectre du visible,
  • ne pas apparaître sur les radars.

Obtenir de l'information dans ce contexte revient à adapter ses outils de collecte. Ils devraient *si possible et sans garanties de succès* étendre leur champ d'observation à plusieurs gammes de fréquences électromagnétiques, notamment l'infrarouge et le gamma.

Un projet est mené dans ce sens par l'EUS et il semble très prometteur. Tout l'intérêt étant que l'information collectée peut être précisément horodatée, positionnée et calibrée et la source d'observation dûment authentifiée. Dans le projet qui nous concerne, les données sont issues de bases de données en ligne ou livres et croisées entre elles pour assurer une certaine cohérence.

Données sur les risques environnementaux

Il s'agit de déterminer et cartographier les facteurs environnementaux les plus critiques pour les écosystèmes terrestres.
Biosphère: un système complexe soumis à des pressions environnementales

Biodiversité: les espèces tissent leurs réseaux

Les espèces dépendent les unes des autres pour survivre et forment ainsi des systèmes complexes. Les réseaux d'espèces où certaines sont reliées à beaucoup d'autres résistent mieux aux changements.

Le nombre d'espèces animales et végétales existant sur la planète est énorme: entre 5 et 50 millions selon les estimations (sans compter les bactéries), ce qui ne représente qu'une infime fraction (de l'ordre de 0,01 pour cent) de celles ayant peuplé la Terre à un moment ou à un autre de son histoire. Selon un bilan effectué lors de la Convention de Rio en 1992, 4500 espèces animales et 25000 espèces végétales seraient menacées d'extinction dans les prochaines années. Elles dis-paraîtraient actuellement à un rythme de 1000 à 10000 par million d'espèces existantes tous les dix ans.

On peut modéliser un objet biologique sous la forme d'un système, c'est-à-dire d'un ensemble d'éléments reliés de façon fonctionnelle. La dynamique de ces éléments dépend notamment des flux (de matière, d'énergie, d'information...) qu'ils échangent. Dans cette optique, une communauté peut être représentée comme un réseau (dit trophique) dont les espèces sont connectées par des liens.

Biosphère: des risques non tous égaux

Si nous supposons que l'évolution des écosystèmes est liée, outre aux arrangements internes des liaisons et l'émergence de micro-réseaux sociaux, pour ce qui est des pressions environnementales qui s'exercent, ces dernières ne sont pas toutes égales. Certaines pressions peuvent être irrémédiablement fatales tandis que d'autres auront un impact plus limité.

Il s’agit d’observer les facteurs de corrélation environnementaux en cherchant plus précisément ceux pouvant avoir un impact critique sur la biosphère et plus précisément les aspects fortement entropiques (volcans, failles sous-marines majeures, centrales nucléaires, expériences humaines dangereuses, ondes, sources de pollution, radiations ?…)

1. Le STOCKAGE. Mettre en oeuvre une Base de Connaissances sur les Phénomènes Aériens Non identifiés (PAN)

Il s'agit du stockage et la pré-analyse des informations collectées. C'est un projet en cours de réalisation. Le matériel scientifique doit par essence être ouvert et libre à la saisie/vérification/validation ainsi qu'à la critique. Sans cela, aucune recherche scientifique ne peut se faire. En un certain sens les associations ufologiques n’ont fait que reproduire les schémas "officiels" qu'elles critiquent en cloisonnant et créant des bases de données « privées », accédées par elles-seules et dont les champs/critères sont définis par des méthodes toujours opaques.

L'idée d'utiliser un Wiki pour créer une telle base est simple: il permet à tout moment à tous d'accéder à l'information pour la compléter. Par ailleurs, un travail important doit être fait sur les sources de données, afin que chaque information puisse être contextualisée, sans cela la donnée n'a que peu de valeur.

Nous proposons également de quantifier et qualifier les degrés de cohérence et de consistance des données obtenues par des méthodes objectives, c'est à dire qui échappe dans une certaine mesure à l'homme, les méthodes d'évaluation étant connues et partageables.

Pour aboutir sur ce projet, ces travaux restent à compléter.

Sous-projets

  • Modelisation.jpg modéliser le signal produit par les observations collectées,
  • Analyse factorielle des variables liées aux observations (faire émerger les variables pertinentes).


2. L'ANALYSE: vérifier l'hypothèse par des calculs de corrélations

Cela nécessite de disposer de populations d'informations (variables), quantitativement et qualitativement satisfaisantes. Et ce de façon à être soumis, à minima au biais représenté par le bruit (canulars ou observations pouvant trouver par ailleurs une explication rationnelle). Sur la même échelle de temps et sur l'espace géographique terrestre:

  • (1) un nombre de phénomènes inexpliqués, observés sur une durée conséquente
  • (2) un nombre de risques liés à l'environnement (classés) ayant touché de façon significative à la biosphère.

Puis de les croiser. Une corrélation correspond à une relation de type R(x,y) qui peut-être une fonction mathématique quelconque. Il serait restrictif et naïf de penser qu'une corrélation correspond à une "conjonction" linéaire de deux populations (comme dans notre cas une observation et un phénomène environnemental).

En première approximation, voici ce qui pourrait être réalisé en croisant avec l'activité du soleil. Cependant, et compte tenu de la qualité des données actuelles, et à lui seul, ce genre de résultat paraît très spéculatif et prématuré.

De façon générale, corrélation ne signifie ni:

  • qu'il existe un lien de cause à effet, ni non plus,
  • qu'il existe une relation linéaire ("directe") entre les ensembles d'éléments corrélés.

4. Pourquoi cette hypothèse ? approche systémique

La biosphère est un environnement en déséquilibre permanent qu’il faudrait constamment ré-équilibrer : les systèmes complexes du vivant s’organisent toujours au maximum de la complexité possible, à la frontière de l’instabilité. Une question que nous sommes ammenés à se poser dans ce cadre est: est-il nécessaire d'intervenir tout du moins de surveiller pour préserver l'équilibre de la biosphère ?.

Cet aspect là de la question est-il lui-même évaluable et modélisable ?

5. Note: biais de l'approche

Sur l'aspect strictement mathématique, ne cherchant que des corrélations entre des "PAN" et des facteurs de risques environmentaux, cela ne permet guère d'inférer sur la nature du(des) phénomène(s) sous-jacents.

En attendant ?

Les OVNI (par extension les PAN) appartiennent à un domaine qui n'a pas encore fait de petits au sein de la communauté scientifique. Ce sujet est-il condamné à rester ainsi au ban de la science? Sinon comme un phénomène psychosocial? Seul l'avenir pourra nous le dire.

En attendant, la démarche de ce site est d'aider (modestement) à opérer un changement, de montrer qu'il existe des pistes pour étudier ce phénomène, mais qu'aussi pour cela il faut créer des outils communs et apporter des moyens. Pour que, finalement, ce sujet puisse être débarassé de son "exotisme" et être intégré dans le cadre d'une recherche plus traditionnelle.

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