Difference between revisions of "Sur l’acceptation de l'inconnu et de croyances exo. Ethnocide et ingérences non terrestres."

Un article de U-Sphere.
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(4. Pourquoi cette hypothèse ? approche systémique)
(La complexité comme axe de recherche global et planétaire)
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<table><tr><td bgcolor="#FFFF00"><B>H1': cette manifestation exogène "intelligente" peut-elle correspondre à certains "phénomènes volants non identifiés" ? (OVNIs, UFOs, PANs...) </B></td></tr></table>
 
<table><tr><td bgcolor="#FFFF00"><B>H1': cette manifestation exogène "intelligente" peut-elle correspondre à certains "phénomènes volants non identifiés" ? (OVNIs, UFOs, PANs...) </B></td></tr></table>
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[[Projet U-Sphère|Carte de l'hypothèse du projet "U-Sphere"]]
  
 
Pour vérifier cette hypothèse nous proposons de rechercher dans les bases de phénomènes inexpliqués des corélations avec les paramètres environmentaux majeurs.
 
Pour vérifier cette hypothèse nous proposons de rechercher dans les bases de phénomènes inexpliqués des corélations avec les paramètres environmentaux majeurs.

Version du 02:21, 14 avril 2007

La complexité, science du futur ?

Il est probable que l’évolution et les niveaux de complexité atteints par les systèmes, notamment du vivant, devienne un sujet d'étude de plus en plus crucial pour l'humanité. Un domaine clé dont la maîtrise pourrait lui fournir les moyens d'une meilleure compréhension de sa propre évolution.

De ce point de vue, la surveillance et la compréhension des vecteurs ou variables qui modèlent la destinée du biotope terrestre et de ses formes évoluées (humaines ou systèmes complexes) pourraient effectivement constituer un sujet d'étude de choix.

Bombetoka1.jpg
"Bombetoka Bay, Sediment, Madagascar"

En toute hypothèse, il est probable que l'approche des niveaux de complexité et le regard que porteraient des exo-civilisations sur les différentes infosphères auxquelles elles seront confrontées devrait varier grandement suivant leur degré d'évolution en regard du notre, ainsi que leur morale.

De fait, leur implication dans notre environnement pourrait varier grandement: de l'ignorance complète, à la surveillance, ou à l'ingérence dans différents degrés. De façon transversale, la nécessiter de surveiller notre environnement et de l'encadrer de sondes invisibles semble constituer une précaution "minimale".

La complexité comme axe de recherche global et planétaire

L'hypothèse proposée et que nous cherchons à tester ici est la suivante:

H1: une manifestation exogène "intelligente" est-elle corrélée aux principales variables suceptibles d'impacter sensiblement notre biosphère; c'est à dire suit les variables suceptibles de remettre en cause l'évolution des degrés de complexité atteints sur terre ?

Qui peut se redéfinir de façon plus étroite ainsi:

H1': cette manifestation exogène "intelligente" peut-elle correspondre à certains "phénomènes volants non identifiés" ? (OVNIs, UFOs, PANs...)

Carte de l'hypothèse du projet "U-Sphere"

Pour vérifier cette hypothèse nous proposons de rechercher dans les bases de phénomènes inexpliqués des corélations avec les paramètres environmentaux majeurs.

Ce projet est constitué de plusieurs étapes classiques, allant de la collecte des données, à leur stockage et l'analyse des informations par différentes méthodes.

De multiples approches sont proposées permettant de traiter les données retenues:

Pour aboutir sur ce projet, les travaux suivant restent à réaliser.

1. Mettre en oeuvre une Base de Connaissances sur les phénomènes non identifiés

Un libre accès aux données est nécessaire avant toute exploitation scientifique. Sans cela, aucun travail scientifique ne peut se faire.

Base de Connaissance

Ces points correspondent à un projet en cours de réalisation. Le matériel scientifique doit par essence être ouvert et libre à la saisie/vérification/validation&critique. En un certain sens les associations ufologiques n’ont fait que reproduire les schémas "officiels" qu'elles critiquent en cloisonnant et créant des bases de données « privées ».

Sous-projets

  • Modelisation.jpg modéliser le signal produit par les observations,
  • Analyse factorielle des variables liées aux observations (faire émerger les variables pertinentes).

2. Dresser de la façon la plus exhaustive possible les risques environnementaux pesant sur la biosphère

Il s'agit de déterminer les facteurs environnementaux les plus critiques pour les écosystèmes terrestres.

Cela pourrait se faire par évaluation du "stress biologique" produit par différentes sources:

Biosphère: un système complexe soumis à des pressions environnementales

Biodiversité: les espèces tissent leurs réseaux

Les espèces dépendent les unes des autres pour survivre et forment ainsi des systèmes complexes. Les réseaux d'espèces où certaines sont reliées à beaucoup d'autres résistent mieux aux changements.

Le nombre d'espèces animales et végétales existant sur la planète est énorme: entre 5 et 50 millions selon les estimations (sans compter les bactéries), ce qui ne représente qu'une infime fraction (de l'ordre de 0,01 pour cent) de celles ayant peuplé la Terre à un moment ou à un autre de son histoire. Selon un bilan effectué lors de la Convention de Rio en 1992, 4500 espèces animales et 25000 espèces végétales seraient menacées d'extinction dans les prochaines années. Elles dis-paraîtraient actuellement à un rythme de 1000 à 10000 par million d'espèces existantes tous les dix ans.

On peut modéliser un objet biologique sous la forme d'un système, c'est-à-dire d'un ensemble d'éléments reliés de façon fonctionnelle. La dynamique de ces éléments dépend notamment des flux (de matière, d'énergie, d'information...) qu'ils échangent. Dans cette optique, une communauté peut être représentée comme un réseau (dit trophique) dont les espèces sont connectées par des liens.

Biosphère: des risques non tous égaux

Si nous supposons que l'évolution des écosystèmes est liée, outre aux arrangements internes des liaisons et l'émergence de micro-réseaux sociaux, pour ce qui est des pressions environnementales qui s'exercent, ces dernières ne sont pas toutes égales. Certaines pressions peuvent être irrémédiablement fatales tandis que d'autres auront un impact plus limité.

Il s’agit d’observer les facteurs de corrélation environnementaux en cherchant plus précisément ceux pouvant avoir un impact critique sur la biosphère et plus précisément les aspects fortement entropiques (volcans, failles sous-marines majeures, centrales nucléaires, expériences humaines dangereuses, ondes, sources de pollution, radiations ?…)

3. Vérifier l'hypothèse : calcul de corrélations

Cela nécessite de disposer de populations d'informations (variables), quantitativement et qualitativement satisfaisantes. Et ce de façon à être soumis, à minima au biais représenté par le bruit (canulars ou observations pouvant trouver par ailleurs une explication rationnelle). Sur la même échelle de temps et sur l'espace géographique terrestre:

  • (1) un nombre de phénomènes inexpliqués, observés sur une durée conséquente
  • (2) un nombre de risques liés à l'environnement (classés) ayant touché de façon significative à la biosphère.

Puis de les croiser. Une corrélation correspond à une relation de type R(x,y) qui peut-être une fonction mathématique quelconque. Il serait restrictif et naïf de penser qu'une corrélation correspond à une "conjonction" linéaire de deux populations (comme dans notre cas une observation et un phénomène environnemental).

En première approximation, voici ce qui pourrait être réalisé en croisant avec l'activité du soleil. Cependant, et compte tenu de la qualité des données actuelles, et à lui seul, ce genre de résultat paraît très spéculatif et prématuré.

De façon générale, corrélation ne signifie ni:

  • qu'il existe un lien de cause à effet, ni non plus,
  • qu'il existe une relation linéaire ("directe") entre les ensembles d'éléments corrélés.

4. Pourquoi cette hypothèse ? approche systémique

La biosphère est un environnement en déséquilibre permanent qu’il faudrait constamment ré-équilibrer : les systèmes complexes du vivant s’organisent toujours au maximum de la complexité possible, à la frontière de l’instabilité. Une question que nous sommes ammenés à se poser dans ce cadre est: est-il nécessaire d'intervenir tout du moins de surveiller pour préserver l'équilibre de la biosphère ?.

Cet aspect là de la question est-il lui-même évaluable et modélisable ?


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